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VOICI MON CŒUR, C’EST UN BON CŒUR

  • POÈMES DE FEMMES AMÉRINDIENNES
  • DE ET AVEC
    Anne Alvaro, Nicolas Daussy, Thierry Thieû Niang,
danse, poésie | création
© Serge Bloch
  • 4 Avril 2018 - 8 Avril 2018
  • 9 Juillet 2018 - 20 Juillet 2018
Au TGP du 4 avril 8 avril 2018, A Avignon du 9 au 20 juillet 2018 à 19h
Durée
1h05

Nous sommes ici « pieds nus sur la terre sacrée ». Elles sont Anishnaabes, Creeks, Mohawks, Cherokees, Sioux, Oneidas, Apaches, Chicachas, Ojibwés, Mohegans… toutes femmes amérindiennes et écrivains.

Leur poésie, affranchie des canons de la littérature, tantôt épique, tantôt intimiste, évoque les légendes et les croyances de leurs peuples ; elles révèlent aussi la difficulté d’être amérindien, d’appartenir à une lignée meurtrie, d’être fille ou petit-fils, métis et exilé aujourd’hui.

L’actrice Anne Alvaro, le chorégraphe et danseur Thierry Thieû Niang et le musicien multi-instrumentiste Nicolas Daussy mêlent ces mots à la danse et à la musique pour faire naître un terrain de jeu. Ils y font entendre des voix intérieures, des correspondances sensibles à notre humanité, des éclats de réalités dont l’écho atteint notre propre monde. Et, imperceptiblement, un paysage universel émerge…

Depuis deux saisons, Thierry Thieû Niang accompagne Jean Bellorini dans l’aventure artistique et humaine du TGP, faisant danser les enfants, les adolescents et les femmes de Saint-Denis, lors de projets au long cours, de l’extérieur du théâtre à ses recoins les plus secrets. Il n’avait pas encore dansé lui-même. Ce sera désormais chose faite.

Voici mon cœur.
C’est un bon cœur.
Os et membrane humide et flammes en sont la couverture tissée.
Quand nous faisons l’amour dans le monde fleur mon cœur est suffisamment près pour chanter au tien dans une langue qui n’a pas cours chez les mots humains maladroits. Joy Harjo, Voici mon cœur. 

Joy Harjo

 


      
 

de et avec Anne Alvaro, Nicolas Daussy et Thierry Thieû Niang

Auteures  Annette Arkeketa, Josephine Bacon, Marilou Bonham Thompson, Beth Brant, Marianne A. Broyles, Diane Burns, Elisabeth Cook-Lynn, Kateri Damm, Diane Glancy, Joy Harjo, Roberta Hill Whiteman, Linda Hogan, Tiffany Midge, Erika T. Worth

Scénographie et lumière Jimmy Boury

D'après les ouvrages
Vent sacré / Anthologie de la poésie féminine contemporaine amérindienne, traduit et présenté par Béatrice Machet, éditions Bacchanales n°42, revue de la Maison de la poésie Rhône-Alpes
et Anthologie de la poésie amérindienne, traduit et présenté par Manuel Van Thienen, éditions Le Temps des cerises

Production Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis Avec le soutien des Nouvelles Hybrides.

« C'est pur, simple, profond. De la poésie en action. » Armelle Héliot - LE FIGARO 

« Le spectacle révèle nous seulement que nombre d'Amérindiens n'ont pas été réduits au silence mais surtout que leur littérature constitue un pan, certes ignoré, mais fondamental de la littérature américaine. » Joshka Schidlow - ALLEGRO THÉÂTRE

« La voix d’Anne Alvaro est un oiseau de nuit qui vit perché près d’une cascade où l’eau d’un torrent charrie des mots tumultueux qu’elle saisit d’un coup sec du bec. » Jean-Pierre Thibaudat - MEDIAPART

« C'est pur, simple, profond. De la poésie en action. » Armelle Héliot - LE FIGARO 

« Le spectacle révèle nous seulement que nombre d'Amérindiens n'ont pas été réduits au silence mais surtout que leur littérature constitue un pan, certes ignoré, mais fondamental de la littérature américaine. » Joshka Schidlow - ALLEGRO THÉÂTRE

« La voix d’Anne Alvaro est un oiseau de nuit qui vit perché près d’une cascade où l’eau d’un torrent charrie des mots tumultueux qu’elle saisit d’un coup sec du bec. » Jean-Pierre Thibaudat - MEDIAPART

« C'est pur, simple, profond. De la poésie en action. » Armelle Héliot - LE FIGARO 

« Le spectacle révèle nous seulement que nombre d'Amérindiens n'ont pas été réduits au silence mais surtout que leur littérature constitue un pan, certes ignoré, mais fondamental de la littérature américaine. » Joshka Schidlow - ALLEGRO THÉÂTRE

« La voix d’Anne Alvaro est un oiseau de nuit qui vit perché près d’une cascade où l’eau d’un torrent charrie des mots tumultueux qu’elle saisit d’un coup sec du bec. » Jean-Pierre Thibaudat - MEDIAPART

« C'est pur, simple, profond. De la poésie en action. » Armelle Héliot - LE FIGARO 

« Le spectacle révèle nous seulement que nombre d'Amérindiens n'ont pas été réduits au silence mais surtout que leur littérature constitue un pan, certes ignoré, mais fondamental de la littérature américaine. » Joshka Schidlow - ALLEGRO THÉÂTRE

« La voix d’Anne Alvaro est un oiseau de nuit qui vit perché près d’une cascade où l’eau d’un torrent charrie des mots tumultueux qu’elle saisit d’un coup sec du bec. » Jean-Pierre Thibaudat - MEDIAPART

autour du spectacle

du 25 au 30 mars : 6 films de cinéma documentaire à (re)découvrir au TGP

  • dim 08 avr 2018 - 17:00

à l’issue de la représentation