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PAROLES GELÉES

  • D'APRÈS L'ŒUVRE ORIGINALE DE
    François Rabelais
  • MISE EN SCÈNE, SCÉNOGRAPHIE ET LUMIÈRE
    Jean Bellorini
théâtre
© Serge Bloch
  • 16 Mai 2018 - 3 Juin 2018
du lundi au samedi à 20h - dimanche à 15h30, Relâche le mardi et le lundi 21 mai
Durée
Durée : 2h15 – salle Roger Blin
Paroles gelées - TEASER
Paroles gelées - TEASER

Paroles gelées est une plongée dans l’oeuvre gigantesque de François Rabelais, principalement dans le Quart Livre, paru en 1552.
Humaniste fervent, médecin féru de grec et de latin, partisan du retour à la nature et d’un savoir encyclopédique, l’homme de lettres incarne à lui seul la Renaissance, tout en conservant le sens de la farce et le goût de la ripaille chers au Moyen-Âge.
Panurge, compagnon du géant Pantagruel, s’interroge lors d’un banquet sur la pertinence de prendre femme. Dans l’ivresse collective, l’assemblée largue les amarres à la recherche de la Dive Bouteille, oracle réputé. Épopée maritime, quête philosophique, le voyage est aussi désastreux que sublime.

La langue explosive, ouverte, multicolore, éclaire cette critique d’une société alors en plein bouleversement qui n’est pas sans ressemblances avec la nôtre. Jean Bellorini l’explique ainsi : « Rabelais parle de nous. De notre temps. Ce temps où, comme au passage du Moyen-Âge vers la Renaissance, les idéologies dominantes s’effondrent.
On n’en finirait pas de relever tout ce qui, dans cette oeuvre miroir, renvoie à notre époque : lutte pour la libération des mots et des corps, recherche d’une pédagogie idéale, attaques contre les fanatismes religieux, dénonciation des guerres de conquête… Ce temps où l’homme sent concrètement le besoin de se réinventer. »

Sur le plateau, treize comédiens « ouvriers de la scène » – tous musiciens et chanteurs – réchauffent contre eux les « paroles gelées » de ce récit lointain. Bottes de caoutchouc aux pieds, dans une grande pataugeoire originelle, ils barbotent, essuient des grains, évitent la noyade, accostent des îles peuplées de monstres. Intrépides et joyeux explorateurs, ils dévorent le monde, avides de vérité.

Nous y vîmes des mots de gueule, des mots de sinople, des mots d’azur, des mots de sable, des mots dorés, rouges, verts, bleus, noirs et or. Après avoir été échauffés entre nos mains, ils fondaient comme neige et nous les entendions réellement, mais nous ne les comprenions pas car c’était un langage barbare.

François Rabelais, Le Quart Livre

 

            

Avec Marc Bollengier, Patrick Delattre, Karyll Elgrichi, Samuel Glaumé, Jacques Hadjaje, Camille de La Guillonnière, Blanche Leleu, Clara Mayer, Teddy Melis, Judith Périllat, Geoffroy Rondeau, Hugo Sablic, Damien Zanoly

Adaptation Camille de La Guillonnière, Jean Bellorini | Musique Marc Bollengier, Patrick Delattre, Hugo Sablic, Jean Bellorini | Scénographie et costumes Laurianne Scimemi | Son Joan Cambon | Assistanat aux costumes Delphine Capossela

Paroles gelées a été récompensé du Molière du meilleur spectacle de théâtre public et du Molière de la meilleure mise en scène d’un spectacle de théâtre public en 2014.

Production Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées Coproduction Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis, Compagnie Air de Lune, Arc en Scènes / TPR (La Chaux de Fonds) En partenariat avec le CENTQUATRE–Paris et le Bureau formART Avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication (Drac Île-de-France), d’Arcadi et du Conseil Départemental de Seine- Saint-Denis Production déléguée de la reprise : Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis.

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
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« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
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« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
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« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
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« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
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« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

« Après Jean-Louis Barrault et Marcel Maréchal, Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière adaptent Rabelais au théâtre. Le premier, en plus, signe la mise en scène tandis que l'autre joue un personnage très savoureux de savant qui traduit les mots que l'on ne comprend pas… Bien sûr, ils ont un peu adapté le texte et reconstruit les aventures de Panurge et de ses amis. Le décor évoque avec intelligence le voyage en haute mer. Une douzaine de comédiens et musiciens déliés comme des athlètes et fin comme des adolescents s'amusent et nous amusent. Il y a quelque chose de ludique et d'enfantin dans la manière de faire du beau théâtre avec des moyens simples: quelques escabeaux, quelques ventilateurs, quelques cirés jaunes et l'on s'embarque jusqu'au moment où est délivré l'oracle de la dive bouteille. Les paroles sont depuis longtemps dégelées… » Le Figaro

« Dans la belle mise en scène de Jean Bellorini, adaptée du Quart Livre, treize comédiens danseurs, le nez dans les étoiles et les pieds dans l'eau, nous emmènent au coeur de l'imaginaire rabelaisien et ouvrent une belle réflexion sur la place de l'homme dans I‘univers. » Télérama

« Sur le plateau, ils sont treize. Si épatants qu'ils feraient aimer Rabelais à une pierre. Oui, le théâtre peut être une fête, Jean Bellorini le prouve, avec un talent brillant : une nouvelle étoile, joyeuse, dans le ciel du théâtre. » Le Monde

« Paroles gelées décline Rabelais sur tous les temps et tous les modes. En jouant, en chantant, en dansant. Talentueux, inventif et généreux. » La Dépêche du Midi

« L'ensemble est à la fois comme un hommage à l'artisanat théâtral (on fait, ici, feu de tout bois, et art de tout, comme mine de rien) et un tribut rendu avec une piété malicieuse au
génie créatif de Rabelais. » Catherine Robert - La Terrasse

« Du miroitement de l'eau sur les murs du théâtre à la magie de costumes qui dégringolent des cintres pour revêtir les acteurs, on est sous le charme. » Fabienne Anvers - Les Inrockutpibles

« Plaisir de dire et de faire : d'un divertissement aussi bien mené, on ne peut ressortir qu'avec le sourire. » Libération

« On passe du silence recueilli au rire gargantuesque, on s'ébaubit, on s'esclaffe, on s'émerveille, on écoute, on retient sa respiration, on ouvre de grands yeux, et surtout on se régale. » Le blog de Martine Silber

« Dans Paroles Gelées, on raconte et on joue. Le spectacle (au sens de spectaculaire) donne tout son espace et sa verve à la langue de Rabelais ; l’équipe est jeune et la mise en scène enlevée. »  Moïra Dalant - Le Souffleur

« Le spectacle file vite en une épopée fantasque. Un voyage initiatique qui  explose en gerbes de malice et de poésie et nous mène en deux heures qui passent comme en songe, jusqu'à ce lieu unique et mystérieux où les paroles qui dégèlent se font entendre au loin, chant mystérieux de la terre. » Le Figaroscope

« Tout l’art (et la malice) de la compagnie est là: servir un grand texte avec quasiment rien, si ce n’est des ustensiles du quotidien.» Le JDD

autour du spectacle

  • sam 26 mai 2018 - 18:30
  • dim 27 mai 2018 - 14:00
  • dim 03 juin 2018 - 14:00

dimanche 3 juin à 14h
Autour de Paroles gelées : « Les philosophes de la joie »

  • dim 27 mai 2018 - 15:30

dimanche 27 mai à 15h30
pour Paroles gelées
précédée d’une visite tactile du décor et des costumes

  • dim 27 mai 2018 - 17:30

à l’issue de la représentation