Vous êtes ici

LES TROIS SOEURS

  • TEXTE
    ANTON TCHEKHOV
  • MISE EN SCENE
    JEAN-YVES RUF
théâtre | création
LES TROIS SOEURS © Serge BLOCH
  • 30 Mars 2015 - 19 Avril 2015
du lundi au samedi à 20 h, dimanche à 15 h 30 - Relâches les mardis et lundi 6 avril 2015
Durée
Durée estimée : 2 h 45 – salle Roger Blin
Entretien avec Jean-Yves Ruf
Entretien avec Jean-Yves Ruf

Les trois sœurs, Olga, Irina, Macha… Les trois Grâces, les trois Parques… Tchekhov ne choisit pas innocemment d’écrire pour un trio féminin. Même s’il adjoint au trio une quatrième figure, le frère, Andreï, qui biaise quelque peu le symbole, il n’en demeure pas moins que trois sœurs, cela impressionne. Le charme a agi chez Jean-Yves Ruf dès la découverte de cette pièce à part, profonde, mystérieuse. Elle l’a toujours intrigué, fasciné par son caractère sourd, cette sensation de délitement insidieux qui y gagne les âmes… Il y a bien sûr la lecture ancrée dans l’histoire de la Russie : une aristocratie ruinée, s’accrochant à des valeurs périmées, philosophant avec candeur et optimisme dans un pays au bord du gouffre. Mais Tchekhov offre aussi des lectures plus atemporelles. C’est un printemps déchirant qui travaille ces trois sœurs, elles se battent avec toute l’énergie de leur jeunesse pour trouver un destin à la hauteur de leurs espoirs et pour ne pas perdre toute utopie. C’est une description précise et profonde du passage de l’insouciance héritée de l’enfance à la prise de conscience d’une vie qui passe déjà trop vite, où les possibles se resserrent inéluctablement, où la question du sens se pose avec acuité.

« Si l’on pouvait savoir » est la dernière phrase de la pièce.

DNA - Interview de Jean-Yves Ruf

Je quitte un cercle cher et doux
Pour le vain bruit d’un monde fou ;
Adieu, ma liberté native.
Où vais-je ?
Où dois-je être emmenée ?
Que me promet ma destinée ?

Eugène Onéguine, Alexandre Pouchkine

Avec Elissa Alloula, Christophe Brault, Gaël Chaillat, Pascal D’Amato, Géraldine Dupla, Lola Felouzis, Francis Freyburger, Thomas Mardell, Sarah Pasquier, André Pomarat, Pierre-Yves Poudou, Antonio Troilo, Lise Visinand, Pierre Yvon 

traduction Françoise Morvan et André Markowicz | lumière Christian Dubet | son Jean-Damien Ratel | scénographie Laure Pichat | costumes Claudia Jenatsch | vidéo Thierry Aveline | assistanat à la mise en scène Anaïs de Courson

Le texte est publié aux éditions Actes Sud, collection Babel.

 

Coproduction Chat Borgne Théâtre, compagnie conventionnée par la DRAC Alsace, le Théâtre Gérard Philipe – centre dramatique national de Saint-Denis, Le Maillon Strasbourg – scène européenne, La MCB – Maison de la Culture de Bourges, l’Espace des Arts – scène nationale de Chalon-sur-Saône, les Quinconces l’ESPAL – scène conventionnée du Mans. Avec le soutien de la Région Alsace, le soutien artistique de l’ENSATT, du Jeune Théâtre National et du Fonds d’insertion de l’ÉSTBA financé par le Conseil régional d’Aquitaine.

"Loin d'en gommer la cruauté et le désespoir, le metteur en scène Jean-Yves Ruf révèle toute la drôlerie de la pièce de Tchékhov. Et toute sa beauté. 2015, année Tchékhov en France ? Nombre de grands esprits du théâtre convergent cette saison vers l'univers doux-amer du plus fin des auteurs russes. Et si l'on décide tout de même d'évoquer encore une fois Les Trois Soeurs (igol, l'une de ses dernières pièces), c'est parce que la lecture qu'en offre Jean-Yves Ruf (frère d'Eric, l'administrateur de la Comédie-Française) nous enchante. Les metteurs en scène ne réussissent pas toujours à rendre le suc comique du dramaturge. Lui, si. Et la salle, tres jeune ce soir-là au Theâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, passait volontiers du sourire au rire." TÉLÉRAMA

"Loin d'en gommer la cruauté et le désespoir, le metteur en scène Jean-Yves Ruf révèle toute la drôlerie de la pièce de Tchékhov. Et toute sa beauté. 2015, année Tchékhov en France ? Nombre de grands esprits du théâtre convergent cette saison vers l'univers doux-amer du plus fin des auteurs russes. Et si l'on décide tout de même d'évoquer encore une fois Les Trois Soeurs (igol, l'une de ses dernières pièces), c'est parce que la lecture qu'en offre Jean-Yves Ruf (frère d'Eric, l'administrateur de la Comédie-Française) nous enchante. Les metteurs en scène ne réussissent pas toujours à rendre le suc comique du dramaturge. Lui, si. Et la salle, tres jeune ce soir-là au Theâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, passait volontiers du sourire au rire." TÉLÉRAMA

"Loin d'en gommer la cruauté et le désespoir, le metteur en scène Jean-Yves Ruf révèle toute la drôlerie de la pièce de Tchékhov. Et toute sa beauté. 2015, année Tchékhov en France ? Nombre de grands esprits du théâtre convergent cette saison vers l'univers doux-amer du plus fin des auteurs russes. Et si l'on décide tout de même d'évoquer encore une fois Les Trois Soeurs (igol, l'une de ses dernières pièces), c'est parce que la lecture qu'en offre Jean-Yves Ruf (frère d'Eric, l'administrateur de la Comédie-Française) nous enchante. Les metteurs en scène ne réussissent pas toujours à rendre le suc comique du dramaturge. Lui, si. Et la salle, tres jeune ce soir-là au Theâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, passait volontiers du sourire au rire." TÉLÉRAMA

"Loin d'en gommer la cruauté et le désespoir, le metteur en scène Jean-Yves Ruf révèle toute la drôlerie de la pièce de Tchékhov. Et toute sa beauté. 2015, année Tchékhov en France ? Nombre de grands esprits du théâtre convergent cette saison vers l'univers doux-amer du plus fin des auteurs russes. Et si l'on décide tout de même d'évoquer encore une fois Les Trois Soeurs (igol, l'une de ses dernières pièces), c'est parce que la lecture qu'en offre Jean-Yves Ruf (frère d'Eric, l'administrateur de la Comédie-Française) nous enchante. Les metteurs en scène ne réussissent pas toujours à rendre le suc comique du dramaturge. Lui, si. Et la salle, tres jeune ce soir-là au Theâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, passait volontiers du sourire au rire." TÉLÉRAMA

"Loin d'en gommer la cruauté et le désespoir, le metteur en scène Jean-Yves Ruf révèle toute la drôlerie de la pièce de Tchékhov. Et toute sa beauté. 2015, année Tchékhov en France ? Nombre de grands esprits du théâtre convergent cette saison vers l'univers doux-amer du plus fin des auteurs russes. Et si l'on décide tout de même d'évoquer encore une fois Les Trois Soeurs (igol, l'une de ses dernières pièces), c'est parce que la lecture qu'en offre Jean-Yves Ruf (frère d'Eric, l'administrateur de la Comédie-Française) nous enchante. Les metteurs en scène ne réussissent pas toujours à rendre le suc comique du dramaturge. Lui, si. Et la salle, tres jeune ce soir-là au Theâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, passait volontiers du sourire au rire." TÉLÉRAMA

"Loin d'en gommer la cruauté et le désespoir, le metteur en scène Jean-Yves Ruf révèle toute la drôlerie de la pièce de Tchékhov. Et toute sa beauté. 2015, année Tchékhov en France ? Nombre de grands esprits du théâtre convergent cette saison vers l'univers doux-amer du plus fin des auteurs russes. Et si l'on décide tout de même d'évoquer encore une fois Les Trois Soeurs (igol, l'une de ses dernières pièces), c'est parce que la lecture qu'en offre Jean-Yves Ruf (frère d'Eric, l'administrateur de la Comédie-Française) nous enchante. Les metteurs en scène ne réussissent pas toujours à rendre le suc comique du dramaturge. Lui, si. Et la salle, tres jeune ce soir-là au Theâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, passait volontiers du sourire au rire." TÉLÉRAMA

"Loin d'en gommer la cruauté et le désespoir, le metteur en scène Jean-Yves Ruf révèle toute la drôlerie de la pièce de Tchékhov. Et toute sa beauté. 2015, année Tchékhov en France ? Nombre de grands esprits du théâtre convergent cette saison vers l'univers doux-amer du plus fin des auteurs russes. Et si l'on décide tout de même d'évoquer encore une fois Les Trois Soeurs (igol, l'une de ses dernières pièces), c'est parce que la lecture qu'en offre Jean-Yves Ruf (frère d'Eric, l'administrateur de la Comédie-Française) nous enchante. Les metteurs en scène ne réussissent pas toujours à rendre le suc comique du dramaturge. Lui, si. Et la salle, tres jeune ce soir-là au Theâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, passait volontiers du sourire au rire." TÉLÉRAMA

"Loin d'en gommer la cruauté et le désespoir, le metteur en scène Jean-Yves Ruf révèle toute la drôlerie de la pièce de Tchékhov. Et toute sa beauté. 2015, année Tchékhov en France ? Nombre de grands esprits du théâtre convergent cette saison vers l'univers doux-amer du plus fin des auteurs russes. Et si l'on décide tout de même d'évoquer encore une fois Les Trois Soeurs (igol, l'une de ses dernières pièces), c'est parce que la lecture qu'en offre Jean-Yves Ruf (frère d'Eric, l'administrateur de la Comédie-Française) nous enchante. Les metteurs en scène ne réussissent pas toujours à rendre le suc comique du dramaturge. Lui, si. Et la salle, tres jeune ce soir-là au Theâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, passait volontiers du sourire au rire." TÉLÉRAMA

autour du spectacle

  • dim 12 avr 2015 - 18:00

  • mar 14 avr 2015 - 20:00

Mardi 14 avril à 20h
autour des Trois Sœurs
D. CHOSTAKOVITCH (1906-1975) - Trio nr 1 op. 8 en do mineur
​CANON À QUATRE POUR CINQ - Tchekhov et la polyphonie
P. I. TCHAÏKOVSKI (1840-1893) - Trio op. 50 en la mineur