Vous êtes ici

LES ANALPHABÈTES

  • LIBREMENT INSPIRÉ DE SCÈNES DE LA VIE CONJUGUALE D'
    Ingmar Bergman
  • UN SPECTACLE DU
    Balagan' retrouvé
théâtre
© Serge Bloch
  • 8 Février 2019 - 24 Février 2019
du lundi au samedi à 20h, dimanche à 15h30, Relâche le mardi
Durée
3h (avec entracte) – salle Mehmet Ulusoy

Gina Calinoiu, actrice roumaine issue de la troupe du Théâtre national Marin Sorescu de Craiova et aujourd’hui membre de l’ensemble du Théâtre national de Dresde en Allemagne, et Lionel González, acteur et metteur en scène proche de Sylvain Creuzevault, Jeanne Candel et Adrien Béal, se sont rencontrés lors d’un laboratoire avec le maître russe Anatoli Vassiliev. C’est à l’issue de ce travail de longue haleine qu’ils fondent leur compagnie, Le Balagan’ retrouvé. Leur credo : partir de rien, de la vie comme elle est, ici et maintenant, et convoquer la fiction pour que, petit à petit, elle s’incarne, elle existe. L’écriture est donc collective et se construit au plateau, mais elle se nourrit de textes de grands auteurs. Non pas des mots laissés sur le papier, mais de l’invisible, de la richesse du caché. Calinoiu et González assument avec humour leur statut de pilleurs des sous-sols de génies.

Après un premier spectacle, Demain tout sera fini, puisant à la source tumultueuse de Dostoïevski avec son roman Le Joueur, les deux artistes s’inspirent ici du scénario de Scènes de la vie conjugale, film réalisé en 1973 par le cinéaste suédois Ingmar Bergman, chef d’oeuvre doux-amer, drame ordinaire et bouleversant de l’amour qui dure puis qui s’efface.
Pour cette reprise, ils ont invité un musicien : Thibault Perriard, batteur, familier des plateaux de théâtre, compagnon de route de Samuel Achache et Jeanne Candel. Trois acteurs donc, pour un spectacle qui s’écrit oralement et corporellement au « soir le soir ».
Il y a dans cette proposition une exigence, une intensité, quelque chose qui semble brûler sous nos yeux : la force du théâtre dans l’instant présent.

Les paroles au théâtre ne sont que des broderies sur le canevas des mouvements.

Vsevolod Meyerhold

Avec Gina Calinoiu, Lionel González, Thibault Perriard

Collaboration artistique Marion Bois | Scénographie Lisa Navarro | Lumière Fabrice Ollivier | Costumes Élisabeth Cerqueira

Production Le Balagan’retrouvé. En partenariat avec le Théâtre National Marin Sorescu de Craiova (Roumanie). Avec le soutien du Théâtre des Bains-Douches – Le Havre ; du Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis et de La vie brève dans le cadre de sa résidence au Pavillon de l’Indochine – Jardin d’agronomie tropicale avec la Ville de Paris. Remerciements : Odéon – Théâtre de l’Europe ; Carole et François de la Porte ; Mayo Carrus et Baptiste Zentz.

« Lionel González et Gina Calinoiu forment un couple d’acteurs exquis, complices, complémentaires. Car tout les oppose pour mieux les réunir. Il est aussi volubile qu’elle est taiseuse. Elle parle assise avec ses yeux et toute une gamme de sourires crispées. Il tournicote debout et orchestre le vide avec ses bras. Il tchatche comme pas deux la langue de Molière, elle balbutie quelques phrases en français et quand elle ne trouve pas ses mots elle passe à l’anglais (...) Tous deux se retrouvent à l’unisson, lui dans le débordement du dire, elle dans les errements du corps. »
MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat 

"« En fait nous nous inspirons librement du scénario de Bergman que je trouve fascinant : dans cette histoire somme toute banale d’un couple entre quotidien étouffant, crises et déchirements, il y a un souffle extraordinaire », souligne Lionel Gonzalez." LE JSD - Benoît Lagarrigue

"Les Analphabètes est magnifique, tout simplement. La puissance dramatique provoquée par ce quotidien est tout bonnement renversante." THÉÂTREACTU - Thibault David

"On sent chez chacun d’eux un travail immense autour de la construction d’un paysage intérieur fait de mille nuances et d’une complexité rare." UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

"Gina Calinoiu et Lionel González écoutent leurs corps, l’impulsion du moment, savent où ils doivent aller (...)" (CECI N'EST) PAS UNE CRITIQUE - Axel Ito

"It works to perfection" THE NEW YORK TIMES - Laura Cappelle 

« Lionel González et Gina Calinoiu forment un couple d’acteurs exquis, complices, complémentaires. Car tout les oppose pour mieux les réunir. Il est aussi volubile qu’elle est taiseuse. Elle parle assise avec ses yeux et toute une gamme de sourires crispées. Il tournicote debout et orchestre le vide avec ses bras. Il tchatche comme pas deux la langue de Molière, elle balbutie quelques phrases en français et quand elle ne trouve pas ses mots elle passe à l’anglais (...) Tous deux se retrouvent à l’unisson, lui dans le débordement du dire, elle dans les errements du corps. »
MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat 

"« En fait nous nous inspirons librement du scénario de Bergman que je trouve fascinant : dans cette histoire somme toute banale d’un couple entre quotidien étouffant, crises et déchirements, il y a un souffle extraordinaire », souligne Lionel Gonzalez." LE JSD - Benoît Lagarrigue

"Les Analphabètes est magnifique, tout simplement. La puissance dramatique provoquée par ce quotidien est tout bonnement renversante." THÉÂTREACTU - Thibault David

"On sent chez chacun d’eux un travail immense autour de la construction d’un paysage intérieur fait de mille nuances et d’une complexité rare." UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

"Gina Calinoiu et Lionel González écoutent leurs corps, l’impulsion du moment, savent où ils doivent aller (...)" (CECI N'EST) PAS UNE CRITIQUE - Axel Ito

"It works to perfection" THE NEW YORK TIMES - Laura Cappelle 

« Lionel González et Gina Calinoiu forment un couple d’acteurs exquis, complices, complémentaires. Car tout les oppose pour mieux les réunir. Il est aussi volubile qu’elle est taiseuse. Elle parle assise avec ses yeux et toute une gamme de sourires crispées. Il tournicote debout et orchestre le vide avec ses bras. Il tchatche comme pas deux la langue de Molière, elle balbutie quelques phrases en français et quand elle ne trouve pas ses mots elle passe à l’anglais (...) Tous deux se retrouvent à l’unisson, lui dans le débordement du dire, elle dans les errements du corps. »
MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat 

"« En fait nous nous inspirons librement du scénario de Bergman que je trouve fascinant : dans cette histoire somme toute banale d’un couple entre quotidien étouffant, crises et déchirements, il y a un souffle extraordinaire », souligne Lionel Gonzalez." LE JSD - Benoît Lagarrigue

"Les Analphabètes est magnifique, tout simplement. La puissance dramatique provoquée par ce quotidien est tout bonnement renversante." THÉÂTREACTU - Thibault David

"On sent chez chacun d’eux un travail immense autour de la construction d’un paysage intérieur fait de mille nuances et d’une complexité rare." UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

"Gina Calinoiu et Lionel González écoutent leurs corps, l’impulsion du moment, savent où ils doivent aller (...)" (CECI N'EST) PAS UNE CRITIQUE - Axel Ito

"It works to perfection" THE NEW YORK TIMES - Laura Cappelle 

« Lionel González et Gina Calinoiu forment un couple d’acteurs exquis, complices, complémentaires. Car tout les oppose pour mieux les réunir. Il est aussi volubile qu’elle est taiseuse. Elle parle assise avec ses yeux et toute une gamme de sourires crispées. Il tournicote debout et orchestre le vide avec ses bras. Il tchatche comme pas deux la langue de Molière, elle balbutie quelques phrases en français et quand elle ne trouve pas ses mots elle passe à l’anglais (...) Tous deux se retrouvent à l’unisson, lui dans le débordement du dire, elle dans les errements du corps. »
MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat 

"« En fait nous nous inspirons librement du scénario de Bergman que je trouve fascinant : dans cette histoire somme toute banale d’un couple entre quotidien étouffant, crises et déchirements, il y a un souffle extraordinaire », souligne Lionel Gonzalez." LE JSD - Benoît Lagarrigue

"Les Analphabètes est magnifique, tout simplement. La puissance dramatique provoquée par ce quotidien est tout bonnement renversante." THÉÂTREACTU - Thibault David

"On sent chez chacun d’eux un travail immense autour de la construction d’un paysage intérieur fait de mille nuances et d’une complexité rare." UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

"Gina Calinoiu et Lionel González écoutent leurs corps, l’impulsion du moment, savent où ils doivent aller (...)" (CECI N'EST) PAS UNE CRITIQUE - Axel Ito

"It works to perfection" THE NEW YORK TIMES - Laura Cappelle 

« Lionel González et Gina Calinoiu forment un couple d’acteurs exquis, complices, complémentaires. Car tout les oppose pour mieux les réunir. Il est aussi volubile qu’elle est taiseuse. Elle parle assise avec ses yeux et toute une gamme de sourires crispées. Il tournicote debout et orchestre le vide avec ses bras. Il tchatche comme pas deux la langue de Molière, elle balbutie quelques phrases en français et quand elle ne trouve pas ses mots elle passe à l’anglais (...) Tous deux se retrouvent à l’unisson, lui dans le débordement du dire, elle dans les errements du corps. »
MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat 

"« En fait nous nous inspirons librement du scénario de Bergman que je trouve fascinant : dans cette histoire somme toute banale d’un couple entre quotidien étouffant, crises et déchirements, il y a un souffle extraordinaire », souligne Lionel Gonzalez." LE JSD - Benoît Lagarrigue

"Les Analphabètes est magnifique, tout simplement. La puissance dramatique provoquée par ce quotidien est tout bonnement renversante." THÉÂTREACTU - Thibault David

"On sent chez chacun d’eux un travail immense autour de la construction d’un paysage intérieur fait de mille nuances et d’une complexité rare." UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

"Gina Calinoiu et Lionel González écoutent leurs corps, l’impulsion du moment, savent où ils doivent aller (...)" (CECI N'EST) PAS UNE CRITIQUE - Axel Ito

"It works to perfection" THE NEW YORK TIMES - Laura Cappelle 

« Lionel González et Gina Calinoiu forment un couple d’acteurs exquis, complices, complémentaires. Car tout les oppose pour mieux les réunir. Il est aussi volubile qu’elle est taiseuse. Elle parle assise avec ses yeux et toute une gamme de sourires crispées. Il tournicote debout et orchestre le vide avec ses bras. Il tchatche comme pas deux la langue de Molière, elle balbutie quelques phrases en français et quand elle ne trouve pas ses mots elle passe à l’anglais (...) Tous deux se retrouvent à l’unisson, lui dans le débordement du dire, elle dans les errements du corps. »
MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat 

"« En fait nous nous inspirons librement du scénario de Bergman que je trouve fascinant : dans cette histoire somme toute banale d’un couple entre quotidien étouffant, crises et déchirements, il y a un souffle extraordinaire », souligne Lionel Gonzalez." LE JSD - Benoît Lagarrigue

"Les Analphabètes est magnifique, tout simplement. La puissance dramatique provoquée par ce quotidien est tout bonnement renversante." THÉÂTREACTU - Thibault David

"On sent chez chacun d’eux un travail immense autour de la construction d’un paysage intérieur fait de mille nuances et d’une complexité rare." UN FAUTEUIL POUR L'ORCHESTRE

"Gina Calinoiu et Lionel González écoutent leurs corps, l’impulsion du moment, savent où ils doivent aller (...)" (CECI N'EST) PAS UNE CRITIQUE - Axel Ito

"It works to perfection" THE NEW YORK TIMES - Laura Cappelle 

autour du spectacle

  • dim 10 fév 2019 - 15:30

Dimanche 10 février à partir de 15h30
Pendant que les parents assistent à la représentation des Analphabètes, les enfants participent à un atelier de pratique théâtrale.

  • dim 17 fév 2019 - 18:00

Dimanche 17 février 
rencontre avec l'équipe artistique des Analphabètes modérée par Anne-Laure Benharrosh à l’issue de la représentation