Vous êtes ici

KARAMAZOV

  • D'APRÈS LES FRÈRES KARAMAZOV
    Fédor Dostoïevski
  • MISE EN SCÈNE
    Jean Bellorini
théâtre | création
© Serge Bloch
  • 5 Janvier 2017 - 29 Janvier 2017
lundi, jeudi et vendredi à 19 h – samedi à 18 h – dimanche à 15 h - relâches les mardis et mercredis
Durée
Durée : 1re partie : 2h20 / entracte : 15 min / 2e partie : 2h – Salle Roger Blin
Karamazov
Karamazov

On compare parfois la cruauté de l’homme à celle des fauves, c’est faire injure à ces derniers.

Fédor Dostoïevski

Les Frères Karamazov est un roman réunissant intrigue policière, histoires d'amour et exposés métaphysiques. Les personnages inoubliables, déchirés par leurs conflits intérieurs, recherchent une vérité qui n'a rien à voir avec une quête de la raison.

Il y a les fils légitimes, brillants de passion et de questions : Dimitri l’amoureux passionné, Ivan le philosophe, Aliocha le mystique. Face à eux se place le bâtard, Smerdiakov, cynique et haineux, dégoûté par sa condition de domestique. Au hasard de la vie, ces quatre frères se retrouvent dans la ville paternelle et se construisent tant bien que mal, entre amour et abjection filiale. En proie aux questionnements de la vie, de la chair et de la foi, ils se heurtent à un père bouffon et jouisseur, face auquel aucune de leur ligne de vie ne tient. Le meurtre, qui fait vriller le roman philosophique en roman policier, met cette fratrie tourmentée face à la question de la responsabilité. Qui est coupable, celui qui porte le coup, ou celui qui n'empêche pas que le coup soit porté ?

Après avoir récemment travaillé à partir de matériaux théâtraux (La Bonne Âme du Se-Tchouan de Bertolt Brecht, Liliom ou La Vie et la mort d’un vaurien de Ferenc Molnár,Cupidon est malade de Pauline Sales), Jean Bellorini reprend son exploration d’œuvres littéraires narratives en s’emparant de l’ultime chef-d’œuvre de Fédor Dostoïevski. Entouré de sa troupe de comédiens-musiciens-chanteurs, rejoint par de nouveaux artistes, accompagné de Camille de La Guillonnière pour l’adaptation et en collaboration avec le traducteur André Markowicz, il souhaite rendre toute la force poétique et lyrique de l’œuvre.

Et nous tous, les Karamazov, on est comme ça, dans toi aussi, dans l’ange, il y a un insecte qui vit, et qui fait naître des tempêtes dans ton sang. C’est des tempêtes, parce que la sensualité, c’est une tempête ! La beauté, c’est une chose terrifiante et affreuse !

Fédor Dostoïevski, Les Frères Karamazov (traduction André Markowicz)

Avec Michalis Boliakis, François Deblock, Mathieu Delmonté, Karyll Elgrichi, Jean-Christophe Folly, Jules Garreau, Camille de La Guillonnière, Jacques Hadjaje, Blanche Leleu, Clara Mayer, Teddy Melis, Marc Plas, Benoit Prisset, Geoffroy Rondeau et un enfant

Mise en scène Jean Bellorini >>
Traduction André Markowicz
Adaptation Jean Bellorini et Camille de La Guillonnière | Scénographie et lumière Jean Bellorini | Costumes, accessoires Macha Makeïeff | Musique Jean Bellorini, Michalis Boliakis, Hugo Sablic | Son Sébastien Trouvé | Coiffures, maquillage Cécile Kretschmar | Assistanat à la mise en scène Mélodie-Amy Wallet | Assistanat scénographie et régie plateau Guillaume Chapeleau | Assistanat lumière et régie lumière Luc Muscillo  | Assistanat costumes Claudine Crauland |  Assistanat coiffures, maquillages Cécile Larue | Habillage Nelly Geyres  | Assistanat accessoires Margot Clavières | Régie générale André Neri  | Régie son Léo Rossi-Roth et Jérémie Tison  | Régie plateau Ludovic Moysan, Nicolas Guichard et Sébastian Pueyo-Larrea  | Réalisation des décors ateliers du Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis sous la direction de Christophe Coupeaux et Quentin Charrois. 

Production Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis Coproduction Festival d’Avignon, La Criée-Théâtre national de Marseille, Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, scène nationale du Sud-Aquitain – Bayonne, Théâtre de Caen, Théâtre Firmin Gémier / La Piscine – pôle national des Arts du cirque d’Antony et de Châtenay-Malabry, Opéra de Massy, Comédie de Clermont-Ferrand – scène nationale, Maison de la Culture d’Amiens- Centre européen de création et de production, Maison des Arts André Malraux scène Nationale de Créteil et du Val de Marne, scène nationale de Sète et du Bassin de Thau, Grand R – scène nationale de la Roche-sur-Yon, Les Treize Arches-Scène conventionnée de Brive, Espace Jean Legendre – Théâtre de Compiègne – scène nationale de l’Oise en préfiguration. Avec le soutien du Département de la Seine-Saint-Denis et de la Région Île-de-France.

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

Et il y a enfin des moments de jouissance comme celui où le metteur en scène arrive à faire chanter (très bien) Tombe la neige, de Salvatore Adamo, dans ce Karamazov qui procure le plaisir d’une enfance de l’art du théâtre. Cela fait du bien.
LE MONDE - Brigitte Salino

Pour son grand retour dans la programmation du Festival d’Avignon, la carrière de Boulbon accueille l’adaptation d’une œuvre monumentale de la littérature russe : Les frères Karamazov de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A la mise en scène, le directeur du Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis, le jeune et talentueux Jean Bellorini.
RFI - Jean-François Cadet

Tous s’emparant avec une belle énergie communicative de leurs personnages, en épousant les affres, les contradictions, les tourments. Offrant au public, avec une vérité rare, leur humanité.
LA CROIX - Didier Méreuze
Le metteur en scène, avec son complice Camille de la Guillonnière, a ingéré le monstre et l’a restitué avec son esthétique, celle d’un meneur de théâtre de troupe, dans la filiation d’Ariane Mnouchkine.
LIBÉRATION - Frédérique Roussel

Jamais surplombant ni haut perché, Jean Bellorini met en avant l'esprit collectif et révèle davantage un tempérament de... chef d'orchestre.
TÉLÉRAMA - Emmanuelle Bouchez

Dans la carrière de Boulbon, rouverte à l'occasion de la 70e édition du Festival d'Avignon, le jeune et brillant metteur en scène français Jean Bellorini revisite le roman dostoïevskien du parricide.
ARTE
Ce théâtre fervent, sans compromis, touche le public en plein cœur.
LA VIE - Joëlle Gayot
The most ambitious production on the list may be Karamazov, an adaptation of Dostoyevsky’s monumental last novel, staged by the TGP’s own director, Jean Bellorini.
FINANCIAL TIMES - Laura Cappelle

autour du spectacle

  • ven 29 juil 2016 - 22:30

Filmé lors de sa création à Avignon
KARAMAZOV est diffusé sur ARTE

  • dim 08 jan 2017 - 15:00

Représentation en audiodescription, précédée d’une visite tactile

  • dim 15 jan 2017 - 20:00

  • mar 17 jan 2017 - 19:30

mardi 17 janvier à 19h30
L’Homme à la caméra (1929) de Dziga Vertov
avec Michalis Boliakis, pianiste
En partenariat avec le cinéma L’Écran de Saint-Denis.