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CATHERINE ET CHRISTIAN (FIN DE PARTIE)

  • CRÉATION COLLECTIVE
    Collectif In vitro
  • MISE EN SCENE
    Julie Deliquet
théâtre | création
© Serge BLOCH
  • 24 Septembre 2015 - 16 Octobre 2015
du lundi au samedi à 20h30 - dimanche à 16h - Relâche le mardi - HORAIRE EXCEPTIONNEL : dimanche 4 octobre à 18h
Durée
Durée : 1h45 - salle Mehmet Ulusoy
Catherine " Si je sais qu'on ne doit pas se revoir, je leur dirais: pensez à moi avec douceur ''
Catherine " Si je sais qu'on ne doit pas se revoir, je leur dirais: pensez à moi avec douceur ''
, Teaser CATHERINE ET CHRISTIAN (Fin de partie) réalisé au TGP par Charles Mignon
Teaser CATHERINE ET CHRISTIAN (Fin de partie) réalisé au TGP par Charles Mignon

Julie Deliquet rassemble à nouveau le collectif In Vitro, cette fois-ci autour de « Catherine et Christian », les parents de toute une génération. L’histoire débute le jour de leur enterrement, dans un restaurant de province. Plusieurs fratries, au fil de quatre saisons, vont tour à tour se réunir autour de la mort de Catherine puis autour de celle de Christian. Et la vie reprend… Partager un repas devient une évidence. Mais la question surgit inévitablement : qu’enterre-t-on avec eux ?

Au fil de répétitions menées in situ, les acteurs tissent une trame qui, jamais transcrite ni figée, édifie le spectacle tout en conservant sa part d’improvisation. Catherine (Eckerlé) et Christian (Drillaud) ont réellement pris part aux premières séances de travail, avant de s’éclipser. Libération ou manque, leur absence entraîne différentes réactions, reprises dans la fiction pour écrire un mythe moderne.
Avec Catherine et Christian (fin de partie), le collectif In Vitro ajoute un épilogue au triptyque Des années 70 à nos jours, présenté au TGP en 2014. Composé de La Noce de Bertolt Brecht, de Derniers remords avant l’oubli de Jean-Luc Lagarce et de la création collective Nous sommes seuls maintenant, le cycle a traversé les unions, les retrouvailles, les déchirures et pourrait se clore sur ces premières funérailles.

 

 

 

Catherine :
Alors un bel enterrement, ça serait qu'ils fassent une grande bouffe, quelque chose de joyeux et de festif !
Christian :
Moi je m'en fous, ils feront ce qu'ils veulent !


Catherine et Christian

Avec Julie André, Gwendal Anglade, Éric Charon, Olivier Faliez, Pascale Fournier, Magaly Godenaire, Julie Jacovella, Jean-Christophe Laurier, Agnès Ramy, Richard Sandra, David Seigneur et la complicité de Catherine Eckerlé et Christian Drillaud
Remerciements à Anne Barbot et Annabelle Simon

assistanat à la mise en scène Julie Jacovella | scénographie Julie Deliquet et Charlotte Maurel | lumière Jean-Pierre Michel et Laura Sueur | musique Mathieu Boccaren | régie générale Laura Sueur

CRÉATION : Septembre 2015 au Théâtre Gérard Philipe – Centre dramatique national de Saint-Denis • Production Collectif In Vitro • 
Coproduction Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis, Festival d’Automne à Paris, Ferme du Buisson-Scène nationale de Marne la Vallée, Théâtre Romain Rolland de Villejuif, Groupe des 20 théâtres en Île-de-France.
 Avec l’aide à la production du ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Île-de-France) et du Conseil départemental du Val de Marne. Avec le soutien de l'ADAMI. Cette œuvre a bénéficié de l'aide à la production et à la diffusion du Fonds SACD Théâtre, ARCADI Île-de-France. En collaboration avec le Bureau FormART. Le Collectif In Vitro est soutenu par le Département de la Seine-Saint-Denis (93) et est associé au Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis.

"Tout est affaire de jubilation et de qui-vive. Le collectif résume cette façon d’être (en scène) du beau mot d’immédiateté" Rue 89

"On retrouve dans ce collectif avec bonheur certains comédiens croisés dans d’autres aventures théâtrales" Sceneweb.fr

"Une autre façon de faire du théâtre, plus personnelle, plus intime, plus nue" Médiapart

"un spectacle vibrant, où le questionnement des fratries orphelines trouve une justesse et de ton et une forme nouvelle qui accomplissent les promesses du précédent opus " Aupoulailler.com 

"on ressort de ce spectacle vidé de toutes nos rancœurs, empli d'émotion et de gratitude." Nonfiction.fr

 

"Tout est affaire de jubilation et de qui-vive. Le collectif résume cette façon d’être (en scène) du beau mot d’immédiateté" Rue 89

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"un spectacle vibrant, où le questionnement des fratries orphelines trouve une justesse et de ton et une forme nouvelle qui accomplissent les promesses du précédent opus " Aupoulailler.com 

"on ressort de ce spectacle vidé de toutes nos rancœurs, empli d'émotion et de gratitude." Nonfiction.fr

 

"Tout est affaire de jubilation et de qui-vive. Le collectif résume cette façon d’être (en scène) du beau mot d’immédiateté" Rue 89

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"un spectacle vibrant, où le questionnement des fratries orphelines trouve une justesse et de ton et une forme nouvelle qui accomplissent les promesses du précédent opus " Aupoulailler.com 

"on ressort de ce spectacle vidé de toutes nos rancœurs, empli d'émotion et de gratitude." Nonfiction.fr

 

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autour du spectacle

  • dim 11 oct 2015 - 18:00