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AMPHITRYON

AVEC LES COMÉDIENS DE L’ATELIER-THÉÂTRE PIOTR FOMENKO (Moscou)

  • DE
    Molière
  • MISE EN SCÈNE
    Christophe Rauck
  • AVEC LES COMÉDIENS DE L’ATELIER-THÉÂTRE PIOTR FOMENKO (Moscou)
théâtre | création
© Serge Bloch
  • 20 Mai 2017 - 24 Mai 2017
lundi, mardi, mercredi et samedi à 20h – dimanche à 15h30
Durée
Durée : 1h40 – salle Roger Blin - spectacle en russe surtitré en français
Teaser Amphitryon
Teaser Amphitryon

Amphitryon, chef des armées de Thèbes, est parti à la guerre. Son épouse, la belle Alcmène, est tout aussi surprise de le voir revenir un soir qu’heureuse de passer une nuit d’amour inattendue. C’est qu’elle ignore que sous les traits de son époux, se cache Jupiter, le dieu des dieux, profitant de l’absence du maître de maison pour en prendre la place. Quand le lendemain, le véritable Amphitryon se présente dans sa demeure, il est accueilli par Mercure, allié de Jupiter, qui a pris les traits du valet Sosie pour embrouiller encore davantage les esprits. Alcmène est déroutée, sa suivante étonnée, jusqu’à ce que Jupiter apaise les coeurs en dévoilant ses projets.

Après sa récente mise en scène de Figaro divorce de Ödön von Horváth, Christophe Rauck revient au théâtre classique, dont il a déjà exploré deux des chefs d’oeuvre, Phèdre de Racine et Les Serments indiscrets de Marivaux, créés au TGP il y a quelques années, lorsqu’il en assurait la direction. Si Amphitryon – l’une des rares  comédies de Molière écrite en vers – est peu joué, sa verve et son humour égalent les plus fameuses pièces du brillant auteur. L’originalité de la proposition ne s’arrête pourtant pas au choix du texte, car les acteurs qui le porteront sont issus d’une des plus célèbres troupes de Russie : l’atelier de Piotr Fomenko. Ce sont ceux de la première heure, ceux qui ont forgé la légende des « Fomenki » et qu’on a pu voir jouer dans Loups et Brebis d’Alexandre Ostrovski, Guerre et Paix de Léon Tolstoï ou Les Trois Soeurs d’Anton Tchekhov, qui incarneront les héros trompés, les dieux manipulateurs, les valets impertinents et leurs nombreux doubles… Cette rencontre du classicisme à la française – sur fond d’amours galantes – et de la fougue slave ne devrait pas manquer de provoquer la tension et l’étrangeté qui sont chères au metteur en scène.


 

Mercure :
Que vos chevaux, par vous au petit pas réduits,
Pour satisfaire aux voeux de son âme amoureuse,
D’une nuit si délicieuse Fassent la plus longue des nuits.

Molière, Amphitryon


Des représentations auront lieu du 5 au 17 mai au Théâtre du Nord à Lille.

       

Avec les comédiens de l’Atelier Piotr Fomenko, Moscou : Ivan Verkhovykh, Ksenia Koutepova, Vladimir Toptsov, Andrei Kazakov, Polina Koutepova, Karen Badalov, Roustem Youskaïev, Oleg Lioubimov

Dramaturgie et assistanat à la mise en scène Leslie Six | Scénographie Aurélie Thomas | Lumière Olivier Oudiou | Son Xavier Jacquot | Costumes Coralie Sanvoisin

Production Théâtre-Atelier de Piotr Fomenko Coproduction et production déléguée de la tournée française Théâtre du Nord / CDN – Lille-Tourcoing – Région Hauts de France Avec le soutien de L’Institut Français dans le cadre de son programme Théâtre Export et de l’Institut français de Russie.

"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

FRANCECULTURE - 30/04/2017 (podcast)
FRANCECULTURE - 15/05/2017 (podcast)
FRANCE 3 - Émission du 12/05/2017 - 9ème minute

"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

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"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

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"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

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"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

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"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

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"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

FRANCECULTURE - 30/04/2017 (podcast)
FRANCECULTURE - 15/05/2017 (podcast)
FRANCE 3 - Émission du 12/05/2017 - 9ème minute

"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

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"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

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"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

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"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

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"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

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"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

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"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

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"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

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"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

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"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

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"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

FRANCECULTURE - 30/04/2017 (podcast)
FRANCECULTURE - 15/05/2017 (podcast)
FRANCE 3 - Émission du 12/05/2017 - 9ème minute

"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

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"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

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"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

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"Le théâtre de Fomenko était une infinie vibration et Rauck se glisse dans ses traces. Dans une très belle scène, le plateau devient un champ de chandeliers allumés et l’on voit Alcmène s’y promener en sautillant, en dansant, en jouant avec la lumière des bougies qui s’allument, s’éteignent, s’allument encore tels les sentiments de ces êtres chamboulés par la façon dont ils constatent qu’une nuit de plaisir ne détruit pas l’amour d’une vie." MEDIAPART - Jean-Pierre Thibaudat

"On les appelle affectueusement les «Fomenkis», acteurs de la troupe de l’atelier-théâtre Fomenko, tous sortis de la classe que le célèbre metteur en scène russe a dirigé en 1990 au sein du Gitis, la plus grande école de théâtre moscovite, et considérés comme d’une génération d’exception. C’est la première fois qu’un metteur en scène français les dirige." LIBÉRATION - Frédérique Roussel

"jamais encore un Français n’avait été officiellement invité dans ce haut-lieu du théâtre moscovite né en 1993 d’un groupe d’étudiants de Piotr Fomenko formé à la très prestigieuse école du Gitis (Institut d’État d’art théâtral)." LA VOIX DU NORD - Jean-marie Duhamel

"Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre " RFI - Muriel Pomponne

"Molière analyse les rapports de pouvoir et montre, de manière absolument géniale, que le désir est un rapport de pouvoir." Christophe Rauck, propos recueillis par JOURNAL LA TERRASSE - Catherine Robert

"Menée avec huit solides comédiens de Moscou, cette mise en scène de Christophe Rauck est une magnifique réussite." LA VOIX DU NORD - Jean-Marie Duhamel 

"La puissante mise en scène, sans renier la part comique du texte, utilise notamment un grand miroir, des chandeliers, de «divins» effets sonores et les passages les plus mystiques de la musique baroque pour ménager une atmosphère indécise, ambiguë et presque inquiétante." JOURNAL PARIS-NORMANDIE

"On se délecte du jeu des acteurs et on oublie totalement la langue russe pour se laisser transporter dans ce Molière revisité. Le résultat est une pure merveille." SCENEWEB - Stéphane Capron

"Une création franco-russe très contemporaine. Et la magie opère." CULTUREBOX - Anne Elizabeth Philibert

"Ce Molière franco-russe grinçant, noir et chatoyant laisse les spectateurs groggy. On est décidément bien peu de chose face aux diktats des puissants." LES ECHOS - Philippe Chevilley

"C’est compter sans l’art poétique de Christophe Rauck d’enchanter le plateau avec, notamment, l’utilisation inouïe d’un immense miroir de 7 mètres sur 2, suspendu dans les airs. Dédoublant l’action et les regards des spectateurs, il permet de décoller du réel, ouvrant sur le cosmos quand s’y reflète la lumière des chandeliers posés à terre, brillant comme autant d’étoiles suspendues dans la nuit." LA CROIX - Didier Méreuze

"Le dispositif extrêmement bien employé est aussi magnifique à regarder. Un récit d’usurpation joué à merveille par une troupe de comédiens fabuleux." TIME OUT PARIS - Elsa Pereira

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autour du spectacle

  • dim 21 mai 2017 - 17:30

dimanche 21 mai 
rencontre avec l'équipe artistique d'Amphitryon à l'issue de la représentation.